Pour que l’OSCOP existe, il faudrait que plus de 40% des 70% des abstentionnistes aux élections de la Martinique comprennent la pensée Politique de l’OSCOP et y adhèrent.
Il faut aller voter, on ne peut pas s’abstenir et critiquer l’action des Politiques, c’est aujourd’hui dans ce système, le seul moyen pour nous de nous faire entendre. Il faut adhérer à une action forte puissante, remontante qui est la souveraineté populaire.
La pensée Politique de l’OSCOP c’est quoi? C’est une pensée Politique nouvelle qui est l’émanation de l’observation du réel. S’appuyant sur la liberté individuelle mais la conscience collective. C’est une pensée créatrice de la relation
Notre travail consiste donc pour l’instant à conscientiser le peuple afin qu’il comprenne que son salut passe par sa responsabilité individuelle, que c’est lui et lui seul qui est responsable de son devenir et surtout pas l’autre. Tant que ce travail ne sera pas finalisé, l’OSCOP n’existera pas.
L’OSCOP n’est pas et ne sera pas une institution. L’OSCOP n’est pas et ne sera pas un parti. C’est l’organisation de la société civile et de l’opinion publique de la Martinique. C’est la rencontre, l’échange, la présence, la personne, sachant que la société Martiniquaise n’est pas homogène socialement, culturellement, économiquement. Il ne faut pas se voiler la face ce sont ces inégalités qui créent la division.
Ce n’est pas une utopie nous pratiquons déjà la relation naturellement lors de nos rencontres, nos échanges, au football, aux courses de yoles, aux courses cyclistes, dans notre carnaval, nos chantés Noël, dans nos zouks, partout où ces inégalités ne sont pas un frein; c’est l’essence. Nous mettons tout en oeuvre pour l’amener vers l’organisationnel. Men adan an lot larèl.